• Comme elle était là, elle remarqua du coin de l'œil un mouvement de glissement. Son cœur pris dans sa gorge alors qu’elle regarda furtivement et vit un homme dans un fauteuil roulant délivrant des tracts. C’était un homme d'âge moyen, aux cheveux blancs, mais il avait encore un corps musclé et en forme.

    Soudain, Elizabeth avait envie de pleurer à nouveau. Pourquoi tu ne me laisses pas tranquille? Murmura-t-elle dans un soupir. Elle ne pouvait même pas passer quelques mois sans avoir ses désirs désespérés sur son visage. Comment était-elle censée vivre sans ça?

    Peut-être que ce serait plus facile. Elle devait croire que ça le serait. Qu'un jour, le handicap ne signifierait rien pour elle parce qu'elle serait complètement engourdie. [...]

    As she was standing there, she caught from the corner of her eye a gliding motion. Her heart caught in her throat as she stealthily looked over and saw a man in a wheelchair delivering fliers to the clerk. He was a middle-aged man, his hair white, but is body still muscular and fit.

    Suddenly Elizabeth felt like crying again. Why won’t you leave me alone? She whispered under her breath. She couldn’t even make it a couple of months without having her hopeless desires rubbed in her face. How was she supposed to go a lifetime without?

    Maybe it would get easier. She had to believe that it would. That someday, disability would mean nothing to her because she would be completely numb. […]

    Puis, quelque chose l'a frappa. Elle reprit le dépliant de nouveau et regarda l'image sur la couverture. C'était une photo de l'équipe tous alignés et assis. Combien su pu être plus attrayant s'ils avaient été en action. Elisabeth avait regardé Murderball. Elle savait combien l’handi-rugby pouvait être spectaculaire, et combien il était intéressant visuellement.

    Soudain, Elizabeth su quelle était sa vocation. Toutes ces années à l’attendre, et c’était là en face d'elle alors qu'elle se trouvait dans son épais manteau grelottant des courants d'air froid à chaque fois que la porte de la pharmacie s’ouvrait. Une journée ordinaire, un moment ordinaire, soudainement élargie vers un futur complet.

    Elle pourrait ne pas être en mesure de rencontrer ou de se livrer à ses désirs, mais elle pourrait encore aider les causes du handicap dont elle se souciait à sa propre petite manière.

    Peut-être que c'était la raison de son intérêt. Peut-être qu'elle était née avec ce fétichisme sur ordre d’utiliser ses talents dans la lutte pour l'égalité des droits pour les personnes handicapées. Elle avait mal compris le but de ses sentiments. Elle souffrirait encore, sachant qu'elle allait maintenant passer du temps avec les gens par lesquels elle serait attiré et incapable de sortir avec eux. Mais ça en vaudrait la peine.

    Ce week-end Elizabeth alla en vélo, dans le froid glacial, à la salle de gym avec un sac photo attaché sur son dos. Elle avait apporté l'objectif que Stewart lui avait donné. Il conviendrait tout à fait pour ce projet.

    Quand elle arriva à l'intérieur, elle resta bien en dehors de la voie. Elle se mis en place au balcon et ne parlait à personne. Mais elle pris joyeusement des photos à la fois en noir et blanc et avec un appareil photo numérique. Elle avait prévu d'envoyer les photos aux organisateurs d'événements et aux équipes afin qu'ils puissent les utiliser comme ils le voulaient.

    Capturant une collision sur le sol, Elizabeth sentit la profonde satisfaction qu’elle avait enfin trouvé son sujet. [...]

    Then something struck her. She dug the flier out again and looked at the image on the front. It was a picture of the team all lined up and sitting still. How much more engaging it would be if they had an action shot. Elizabeth had seen Murderball. She knew what a spectacular sport quad rugby was, and how visually interesting.

    Suddenly, Elizabeth knew what her calling was. All these years of waiting for it, and there it was in front of her while she stood in her thick coat shivering from the blasts of cold air each time the drug stone door opened. An ordinary day, an ordinary moment, suddenly expanded into an entire future.

    She might not be able to date or to indulge her desires, but she could still help the disability causes she cared about in her own small way.

    Maybe this was the reason for her interest. Maybe she had been born with this fetish on order to give her the drive to use her talents in the fight for equal rights for those with disabilities. She had misunderstood the purpose of her feelings. She would still suffer, knowing that she was now going to spend time around people that she would be attracted to and unable to date. But it would be worth it.

    That weekend Elizabeth rode her bike through the bitter cold to the gymnasium with a camera bag strapped across her back. She brought the lens that Stewart had given her. It would be just right for this project.

    When she got inside, she stayed well out of the way. She set up in the balcony and didn’t talk to anyone there. But she happily snapped photographs both in black and white and with a digital camera. She planned to send the photos to the organizers of the events and the teams so that they could use them however they wanted.

    Snapping a collision on the floor, Elizabeth felt a deep satisfaction that she had found her subject at last. […]

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  • Stewart lui pose des question à propos du devotisme.

    Stewart ask her about devoteeism.

    "Est-ce la chaise elle-même? Qui ... t’excite? "

     “Is it the chair itself? That … excites you?”

    Elle prit une profonde inspiration. «Non», dit-elle. "Je veux dire, la chaise est belle et gracieuse, mais il y a plus que ça. Les membres, le mouvement, la déconnexion entre la partie supérieure et inférieure du corps, le manque de contrôle de ton corps. J'aime les roues et la façon dont elles se déplacent avec toi et le mouvement qui fait presque aussi partie de ton corps. J'aime aussi tes pieds et tes genoux ".

    She took a deep breath. “No”, she said. “I mean, the chair is beautiful and graceful, but there’s more to it than that. The limbs, the movement, the disconnect of upper and lower body, the lack of control over your body. I love the wheels and the way they move with you and flow almost as part of your body. I also love your feet and your knees.”

    "Pouvez-tu simplement mettre un gars valide dans une chaise? Comme quand Travis avait utilisé la miennne, qu’as-tu ressenti alors? "

     “Could you just put an able-bodied guy in a chair? Like when Travis was using mine, did you feel it then?”

    Elizabeth réfléchit. «Non», dit-elle. «Ce n'est pas un jeu, et la chaise n'est pas un jouet. Il y a quelque chose au sujet de l'identification en tant qu’handicapés qui compte. Et le paralysé est beau aussi, même sans la chaise ".

    Elizabeth pondered this. “No”, she said. “It’s not a game, and the chair isn’t a toy. There is something about identifying as disabled that matters. And the paralyzed is beautiful too, even without the chair.”

    “T’es-tu jamais demandée pourquoi.”

    “Have you ever thought about why?”

    “Bien sûr que je l’ai fait. Je n’ai simplement jamais trouvé la bonne réponse. »

    “Of course I have. I just haven’t ever found a good answer.”

    “Donc tu ne sais pas comment ça a commence?”

    “So you don’t know how it started?”

    “Je vis avec cela depuis 18 ans, je l’ai analysé jusqu’au bout et je n’ai jamais compris.”

    “I’ve been living with it for eighteen years, and I’ve analyzed it to death and never understood it.”

    “Tu avais cela quand tu étais bébé?”

    “You had this when you were a baby?”

    Elizabeth hocha de la tête. "Ne crois pas ceux qui te disent que les enfants n'ont pas de sexualité. Les bébés se touchent, et les petits enfants pourraient ne pas savoir ce qu'ils font, mais je sais que je mettais mon talon entre mes jambes et que je me balançais d'avant en arrière. Je ne sais pas pourquoi. C'était comme une démangeaison que je voulais gratter. "

    Elizabeth nodded. “Don’t believe anyone who tells you that kids aren’t sexual. Babies touch themselves, and little kids might not know what they’re doing, but I know I used to put my heel between my legs and rock back and forth. I didn’t know why. It was like an itch I wanted to scratch.”

    "Quand je lu à propos du fétichisme dans un magazine ils ont dit que c’était quelque chose comme le maternage d’un mec handicapé."

    “When I read about the fetish in a magazine they said something about it being about nurturing and mothering a disabled guy.”

    Elizabeth leva un sourcil. "Et quand t’ai-je jamais materné?"

    Elizabeth raised an eyebrow at him. “And when have I ever mothered you?”

    "Tu marques un point", déclara Stewart. «Ce n'est pas ça."

    “Point taken”, Stewart said. “That’s not it.”

    "En fait", Elizabeth dit: «J'ai parlé à mon ami, Amy, à ce propos récemment, et elle a eu l'explication la plus raisonnable que j'ai entendu. Elle croit que j’aime le fait que tu sois vraiment fort et que tu peux gérer quoi que ce soit et que le fauteuil roulant est une sorte de preuve que tu es en mesures de gérer les choses. "

    “Actually”, Elizabeth said, “I talked to my friend, Amy, about it recently, and she had the most reasonable explanation I’ve heard. She thinks I like that you’re really tough and can handle anything and that the wheelchair kind of proves that you’re able to deal with things.”

    Stewart réfléchi. "Tu as tendance à mettre les hommes sur un pied d’estale, n'est-ce pas?"

    Stewart thought about this. “You tend to put men on pedestals, don’t you?”

    «Je pense que oui."

     “I suppose so.”

    "Donc, mon handicap me rend plus humain, m'amène à ton niveau, peut-être?"

    “So my disability humanizes me, brings me to your level, maybe?”

    Elizabeth haussa les épaules. «Peut-être. Ça n’explique pas vraiment pourquoi je le ressentais quand j'étais un bébé, cependant. "

    Elizabeth shrugged. “Maube. Doesn’t really explain why I felt it when I was a baby, though.”

    "Et rien d'autre ne t’a jamais allumé?"

    “And nothing else has ever turned you on?”

    Elizabeth secoua la tête. «Je n'ai jamais été attiré par un gars valides", dit-elle. «J'ai essayé de détruire cette chose que j'ai, de me forcer à cesser de vouloir le handicap, mais ça ne disparaît jamais. Je ne suis pas sûr que je veuille vraiment le détruire. Une partie de moi le retient. Je veux dire, ça fait du bien. Et si je m’en débarrassais, peut-être que je ne ressentirais plus jamais de désir à nouveau? Peut-être que je suis chanceuse parce que je sais exactement ce que je veux, exactement ce qui m'excite. Je ne veux pas être quelqu'un qui tire profit de la souffrance de quelqu’un d’autre ".

    Elizabeth shook her head. “I’ve never been attracted to an able-bodied guy”, she said. “I’ve tried to destroy this thing I have, to force myself to stop wanting disability, but it never goes away. I’m not sure that really want to destroy it anymore. Some part of me holds back. I mean, it feels so good. And if I got rid of it, what if I never felt that desire again? Maybe I’m lucky because I know exactly what I like, exactly what turns me on. I just don’t want to be someone who takes advantage of someone else’s suffering.”

    Stewart haussa les épaules. «Eh bien, tu n'es pas la cause de la souffrance de quelqu'un, non?"

    Stewart shrugged. “Well, you didn’t cause anyone’s suffering, right?”

    "J'espère que non!", déclara Elizabeth. Elle sourit.

     “I hope not!” Elizabeth said. She smiled.

    Stewart roula en arrière afin qu'elle puisse voir son corps en entier. "Et est-ce la réalité est à la hauteur de tes fantasmes?"

    Stewart rolled back so she could see his full body. “And does the reality live up to the fantasy?”

    Elizabeth sourit. «Qu'en penses-tu?" Dit-elle. Elle se leva et se mordit la lèvre alors qu'elle enlevait lentement son pantalon et ses sous-vêtements et lui tendit ses sous-vêtements.

    Elizabeth smiled. “What do you think?” she said. She stood and bit her lip while she slowly peeled off her pants and underwear and held the underwear out to him.

    Il leur pris, fronça les sourcils et dit: «Ils sont mouillés."

    He took them, frowned and said, “These are wet.”

    Elle hocha la tête.

    She nodded.

    "Vraiment, vraiment humide. C'est à cause moi? "

    “Really, really wet. That’s from me?”

    Elizabeth hocha la tête, en regardant le sol consciente d'être à moitié nue.

    Elizabeth nodded again, looking t the floor pressingly aware of being half naked.

    "Wow. Eh bien, je dois dire que j'espère que ça ne s’en ira pas. "

    “Wow. Well, I’ve got to say I hope it doesn’t go away.”

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