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Quand l’inévitable surprend encore
Tout le monde connaît le phénomène « tomber amoureux de son prof ». Et je l'ai vécu aussi. Mais je vais commencer mon histoire quelques mois plus tôt.
En première année secondaire
J'étais en première année secondaire (13 ans) et j'ai mené une scolarité tout à fait commune en apprenant à vivre dans ma nouvelle école. Au bout de quelques mois, j'ai commencé à avoir mes lieux de passages à heures fixes. Et alors j'ai commencé à croiser systématiquement un professeur paraplégique. Et voici l'idée qui me traversait l'esprit : comment est-ce quand il donne cours, enfin comment, moi, le vivrais-je ? Et fait, déjà à cet âge là je ressentais mon corps changer quand je le croisais, mais ne comprenant pas bien ce qu'il m'arrivait, par peur, j'aurais préféré ne jamais savoir, et me cantonner à le croiser dans les couloirs tous les matins.
En deuxième année secondaire
Ce qui devait arriver, arriva. En commençant ma deuxième année secondaire, j'appris que je l'aurais comme professeur durant un an. On pourrait se dire « le pied » pour une devotee, mais alors « the big question » pour une fille de 14 ans ! Mais de toute façon, je n'avais pas le choix. Alors j'ai affronté mes peurs et j'ai suivi son cours comme tous les autres et tout se passa bien. En effet, pourquoi faire les choses différemment avec les personnes handicapées, penseront certains. Mais à 14 ans, on n'est pas encore vraiment maître de ses idées, et c'est l'éducation qui crée ce genre de pressentiments, mais ça c'est une autre histoire ...
Son histoire
Il était professeur de gymnastique. Un jour qu'il travaillait sur un toit, il est tombé. Il était alors paraplégique. Il est resté dans l'enseignement, mais à changé de branche.
Le jour où je n'ai pas su contrôler mes pulsions
Il y a des choses qu'on n'a encore jamais vécues et qui arrivent sans prévenir mais rarement au bon moment. Dans mon cas, la première fois que mon sexe s'est mis en ébullition, j'étais en plein cours, avec un léger besoin d'aller aux toilettes.
Au début j'essayais simplement de me retenir, en attendant patiemment la fin du cours. Mais dans ces cas là, plus moyens de se concentrer sur le cours, alors l'esprit commence à divaguer. Je vais pas vous donner tous les détails non plus, mais toujours est-il qu'à un moment donné je me suis sentie toute bien, en train de planer, et essayant de contenir le plaisir en moi, de le faire durer alors que l'endroit n'y était vraiment pas approprié. Les choses ont fini par se calmer, le cours se termina.
Et après
Par la suite j'ai essayé de comprendre se qui m'était arrivé, je n'ai jamais vraiment compris. Enfin si, mais j'ai dû attendre quelques années de plus. Non pas pour ce que j'avais ressenti en moi, à 14 ans ce genre d'informations on nous les a données, mais plutôt pour comprendre pourquoi à ce moment là et avec ce professeur là.
Mais un an, quand on s'amuse, ça passe vite. Et puis quand on tombe amoureux d'un professeur, c'est rarement destiné à durer, puis ça reste secret. Alors, je suis entrée en troisième année, avec une nouvelle année devant moi, et de nouveau objectifs.
« Les professeurs ouvrent les portes mais vous devez entrez vous-même. » - Proverbe chinoisYou speak English ? Here is translated: Download - When the inevitable surprises yet
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